Vous avez intérêt à suivre régulièrement votre consommation énergétique pour plusieurs raisons. D’abord, cela permet une meilleure compréhension de vos factures d’électricité. Vous pourrez par la suite repérer plus facilement les anomalies sur votre consommation et réaliser des économies d’énergie non négligeables. Un suivi en temps réel aide également à choisir les conditions tarifaires qui correspondent le mieux à votre situation. Dans cette optique, il y a différentes options.

Suivi de la consommation sur le site du fournisseur

Aujourd’hui, les fournisseurs d’énergie sont conscients des enjeux environnementaux et économiques liés à la consommation électrique. Ainsi, ils proposent aux consommateurs de suivre leur propre consommation en ligne. Pour choisir le bon fournisseur, il faudra juste de comparer les tarifs sur Choisir.com. Afin d’avoir accès à une application dédiée au suivi en temps réel sur le site, vous devez fournir les renseignements sur votre logement (surface, nombre de pièces et d’occupants, etc.). Il faut aussi dresser la liste des équipements concernés, comme le lave-linge, le micro-ondes ou le lave-vaisselle. En outre, il faut connaître vos habitudes de consommation, notamment la durée moyenne d’occupation de la maison ou encore le nombre de douches quotidiennes.

Utilisation d’un compteur électrique intelligent

Un compteur électrique intelligent est désormais disponible sur le marché. Cet équipement permet aux consommateurs de consulter leur consommation d’énergie réelle à tout moment. Pour ce faire, il leur suffit de se connecter sur leur compte client disponible sur le site de leur gestionnaire de réseau d’électricité. Ils auront alors accès à un graphique leur permettant de suivre l’évolution de leur consommation énergétique, selon la périodicité de leur choix. Les changements observés constituent une base pour changer les habitudes de consommations afin de faire des économies. Une étude a montré que les ménages qui utilisent ce type de compteur ont constaté une baisse de d’environ 20 % sur leur consommation électrique.

Maîtriser la consommation d’énergie grâce à la domotique

Il est également possible de suivre votre consommation d’énergie en temps réel grâce à du matériel domotique. En effet, divers objets connectés consulter à tout moment la consommation électrique en utilisant une application mobile.

Pour ce faire, il suffit de brancher un capteur ou une station sur les divers équipements de votre maison pour recueillir les informations. Certains appareils permettent même un pilotage à distance ; ce qui permet de réduire vos factures d’électricité. Par exemple, vous pouvez vérifier à distance si tous les éclairages de votre logement sont éteints lorsque vous êtes dehors. L’acquisition de ces outils est un investissement conséquent, mais les avantages sur le long terme ne sont pas négligeables.

La trêve hivernale a toujours fait naître de nombreuses questions concernant son fonctionnement ainsi que ses interdictions. Si vous êtes locataires ou bailleurs, il existe particulièrement des droits qui vous reviennent naturellement pendant cette période. Et c’est pour bien connaître ces règlements locatifs durant cette période que nous vous invitons promptement à lire les informations contenues dans cet article.

Qu’est-ce qu’une trêve hivernale ?

Chaque année, l’entrée dans la période hivernale débute le 1er novembre et se termine le 31 mars. En effet, c’est une période pendant laquelle toute expulsion de locataire se trouve strictement impossible. C’est-à-dire que toutes procédures d’expulsions locatives malgré une charge impayée sont totalement suspendues. Pendant cette période, sachez qu’il est aussi interdit aux fournisseurs d’énergies de couper les alimentations : eau, électricité, gaz. Toutefois, que vous soyez locataire ou bailleur, le mieux est toujours de bien vous renseigner à propos de vos droits en matière d’énergie durant la trêve hivernale. En outre, c’est aussi un meilleur moyen de choisir vos fournisseurs pour bénéficier du meilleur prix d’énergie. Pour s’y faire, le comparateur d’énergie www.choisir.com met à votre disposition des fournisseurs experts produits afin que vous maîtrisez bien vos dépenses d’énergie.

Quelles sont les interdictions de la trêve hivernale ?

Comme mentionné ci-dessus, la trêve hivernale interdit toute expulsion de locataire de son logement, vide ou meublé. Toute décision judiciaire dans le cadre d’expulsion est donc suspendue. Surtout si les motifs d’expulsions sont les suivantes : loyer impayé, nuisance au voisinage, non-respect des règles de copropriété, factures non réglées, etc. Du côté des locataires, sachez qu’il est tout à fait possible de recourir à des solutions de financement qui aident les locataires en difficulté durant la période de trêve. Il est recommandé de consulter un conseil neutre et gratuit provenant d’un juge. Or, accéder aux différentes formes d’associations d’aides en vigueur dans son secteur est aussi un bon issu. Si le propriétaire et le locataire ne parviennent donc pas à compromettre une proposition de solution qui convient aux deux parties. Le bailleur serait obligé d’attendre vers la fin de la trêve pour énoncer définitivement l’expulsion.

Quels sont les droits du bailleur durant la trêve hivernale ?

Du côté des propriétaires bailleurs, face à un impayé de loyer. Sachez qu’il est tout de même possible d’entreprendre les démarches de poursuites sollicitées en sa faveur. Ainsi, le propriétaire peut envoyer à travers le tribunal un commandement de payer. En même temps, le propriétaire peut demander un jugement d’expulsion qui s’appliquera tout de suite vers la fin de la trêve. En outre, la trêve ne concerne pas les squatteurs entrés dans un endroit illégalement ou par effraction. Elle ne touche pas aussi l’expulsion du domicile des conjoints, les concubins et les époux malfaiteurs de violence. De même, si le propriétaire aurait choisi de reloger son locataire d’un logement adéquat à ces besoins.

Vous avez décidé de changer de fournisseur d’électricité ou de gaz ? Ou, cherchez-vous le meilleur ? Les comparateurs d’énergie en ligne vous fournissent les meilleurs fournisseurs adaptés à votre consommation. Ces plateformes peuvent être votre solution, plus pratique, économique et sans mauvaises surprises. Tels sont des exemples d’avantages que les comparateurs d’énergie peuvent vous procurer.

Économique

Souvent, les comparateurs d’énergie proposent les fournisseurs ayant la meilleure offre. Ils comparent les prix du Kilowattheure et l’abonnement à offre la moins chère et vous proposent les plus accessibles. Depuis la libéralisation de l’énergie en 2007, plusieurs fournisseurs se concourent aux fournisseurs traditionnels, d’où le rôle des comparateurs. Dans le contexte, les foyers peuvent économiser d’argent en choisissant de rechercher leurs fournisseurs à travers les plateformes. D’ailleurs, parmi les nombreux comparateurs en ligne, vous pouvez trouver le fournisseur d’énergie le moins cher par ici. Toutefois, vos charges dépendent de vos consommations, notamment concernant les gaz ou l’électricité. De plus, ces derniers permettent de gagner du temps dans les préparations des paperasses administratives.

Plus pratique

Un des atouts des comparateurs d’électricité et de gaz est sa praticité. Il vous suffit de vous connecter à internet et rechercher parmi les comparateurs existants le fournisseur qu’il vous faut. Une fois que vous trouverez votre comparateur, il vous suffit de compléter le formulaire dans leur site. C’est à partir de vos réponses que le comparateur vous propose le fournisseur d’énergie qui vous convient le mieux. Car, chaque fournisseur propose leur base selon leur propre calcul ou en se référant au tarif imposé par l’institution publique dédiée. D’ailleurs, il existe des fournisseurs d’énergie qui sont en charge à la fois l’électricité et le gaz, ou seulement l’un ou l’autre.

Les comparateurs réduisent les mauvaises surprises

Avec les comparateurs d’énergie en ligne, les risques indésirables sont diminués. En effet, les utilisateurs peuvent simuler leur situation en ligne. Par exemple, le comparateur aura besoin de votre type de logement, le nombre d’occupants ou le type de chauffage employé pour déterminer le fournisseur. Aussi, grâce aux informations récoltées à travers le formulaire, les intéressés sont mis en connaissance des dépenses en Kilowattheure ainsi que leur coût. Plus les informations sont précises plus le comparateur offre le meilleur fournisseur approprié. Les calculs sont effectués à partir des données recueillies ainsi que les bases imposées par les fournisseurs. À noter que les utilisateurs sont libres de choisir le fournisseur qui répond le plus à leurs besoins. En aucun cas, le comparateur impose tel ou tel fournisseur aux utilisateurs.

Il existe différentes solutions de chauffage pour améliorer le confort de sa maison en hiver, y compris des solutions pour la production d’eau chaude sanitaire. Elles sont dotées de caractéristiques bien différentes et bien particulières. Vous pouvez trouver une chaudière alliant économie et confort ou encore autonomie et performance. Quelles sont les différents types de chaudières sur le marché ?

Se chauffer avec l’électricité, le fioul ou le gaz

Le gaz, l’électricité et le fioul sont les systèmes de chauffage les plus prisés sur le marché. Il faut utiliser un comparateur de gaz & électricité pour choisir l’énergie qui convient le plus à vos besoins. Faciles à utiliser, ces trois sources d’énergie restent les meilleures solutions, si vous avez un logement à faible superficie. En effet, avec ces procédés, il n’y a pas de déperdition de chaleur et la consommation d’énergie reste très faible. Le chauffage au gaz reste, cependant, le plus rentable et le moins cher du marché. N’hésitez donc pas à utiliser une chaudière au gaz à condensation. Vient ensuite le chauffage au fioul qui est également très économique. Doté d’un système très silencieux, il est très performant sur le long terme. Le chauffage à l’électricité reste celui qui consomme le plus d’énergie, mais offre plus de confort grâce à son radiateur électrique à inertie.

Se chauffer avec du bois

Le bois de chauffage reste un bon moyen pour chauffer sa maison en hiver. De plus, un système performant de production d’eau chaude sanitaire peut compléter un système de chauffage au bois. Par ailleurs, il vous est possible de choisir entre différents types de dispositifs pour vous chauffer. Vous pouvez utiliser par exemple un poêle à bûches, un poêle à granulés ou encore les deux combinés. Vous pouvez aussi opter pour la cuisinière à bois ou encore l’insert de cheminée. Un des avantages du chauffage à bois reste la chaleur conviviale qui va régner dans votre maison. Par ailleurs, le poêle à granulés de bois est doté d’une alimentation en combustible automatique. Cet appareil offre une facilité d’utilisation et évite la déperdition de chaleur. Vous pouvez également combiner le chauffage au bois avec du fioul pour une meilleure autonomie de votre chaudière.

Se chauffer avec une pompe à chaleur

La pompe à chaleur utilise des énergies renouvelables comme l’air, l’eau ou encore la chaleur du sol pour se ressourcer. L’intégration d’un système de production d’eau chaude sanitaire peut optimiser l’efficacité d’une pompe à chaleur. Il se divise en quatre systèmes bien différents, à savoir la pompe à chaleur air-air, air-eau, géothermique et la pompe à chaleur réversible. La PAC air-air utilise les énergies fournies par l’air extérieur pour fonctionner. La pompe à chaleur air-eau quant à elle puise sa source grâce au chauffage central et aux radiateurs à eau chaude. Quant à la PAC géothermique, elle se ressource grâce au sol. Enfin, une pompe à chaleur réversible peut être utilisée à la fois comme chauffage, mais aussi comme climatiseur.

Pour pouvoir détecter et résoudre une panne électrique, il est indispensable de connaître sa nature et sa provenance. Cependant, il faut le faire correctement. En effet, il faut éviter les accidents domestiques, ainsi, il faut prendre certaines mesures de sécurité électrique. Voici alors 3 astuces pour rechercher une panne électrique dans la maison.

Vérifier si les causes de la panne sont externes ou internes

Lorsque qu’une panne électrique survient, la première chose que vous devez faire est de vérifier si les causes du problème proviennent de l’extérieur ou bien de l’intérieur. Pour ce faire, essayez d’examiner si vos voisins subissent également le même souci. Si c’est le cas, la coupure d’électricité est alors générale. A l’inverse, si le problème est seulement chez vous, la panne électrique est alors causée par des défauts internes. Ainsi, pensez à contrôler le tableau de distribution électrique. En effet, à cause d’une surcharge ponctuelle, votre disjoncteur principal pourrait se désarmer. Si c’est le cas, pour faire reprendre le courant, réenclenchez-le. Par contre, si le problème ne vient pas du disjoncteur principal, ou si le souci persiste, vous devez faire une recherche plus approfondie.

Détecter si la panne résulte du système d’éclairage

Pour rechercher une panne électrique, vous devez le faire étape par étape. Essayez alors de vérifier si le problème vient du système d’éclairage. Pour ce faire, allumez petit à petit les ampoules. Ainsi, si lorsque vous mettez en marche une certaine lampe, et que le système électrique est arrêté, il est possible que le problème s’y provienne. Par conséquent, vous devez changer le luminaire ou ses constituants. En revanche, si l’interruption persiste, vous devez trouver une autre astuce pour détecter la panne électrique.

Tester l’équipement électronique

Pour trouver une panne électrique, vous devez aussi penser à vérifier l’équipement électronique. Pour cela, vous allez aussi le faire progressivement. Ainsi, connectez votre électricité. Ensuite, branchez et mettez en marche graduellement vos équipements électriques. Pour ce faire, observez un à un tous les porte-fusibles jusqu’à ce que vous repériez le défaut électrique. L’un d’entre eux, pourrait effectivement être dysfonctionnel. Notez bien qu’au cas où il n’y aurait pas de coupure d’électricité, lorsque vous testez l’équipement électrique, il est indispensable d’éteindre et de débrancher afin de vous protéger d’un court-circuit électrique. Par ailleurs, si vous n’avez pas pu détecter le problème, il se peut que la panne soit due à une surchauffe ou à une autre raison. De ce fait, faites appel à un électricien.

Les disjoncteurs se trouvent dans chaque foyer. Leur principale fonction est de couper le courant de tout le système électrique en cas de problème lié au circuit électrique. L‘appareil intègre une fonction appelée différentiel qui coupe automatiquement le courant en cas de fuite. Suivez dans cet article la fonction du disjoncteur différentiel.

À quoi sert le disjoncteur différentiel ?

Les disjoncteurs électriques ont pour fonction de protéger les circuits électriques. Par conséquent, cet élément est chargé de détecter les fuites et les courts-circuits vers la terre et de répondre en conséquence. À l’aide de ce dispositif, vos machines électroménagères sont protégées contre par exemple les faux contacts. Les occupants de la maison sont également protégés contre le risque de choc électrique lié à une machine avec un court-circuit habituel. En détectant aussi les surcharges, le disjoncteur différentiel se différencie de l’interrupteur différentiel. Ce dernier protège uniquement les personnes et non les machines électriques du logement. L’efficacité du disjoncteur différentiel est également très importante.

Comment marche le disjoncteur différentiel ?

Le disjoncteur électrique différentiel est équipé de 2 systèmes différents permettant d’assurer ces deux fonctions :

· le système magnétothermique protégeant les équipements et le circuit contre les courts-circuits et les surcharges ;

· le système différentiel protégeant les occupants de la maison contre la fuite de courant.

Selon les caractères particuliers du circuit à protéger ou les machines qui y sont branchés, vous devez choisir un disjoncteur différentiel adapté en suivant les préconisations de la norme. Trois facteurs doivent être pris en compte : le type ou la classe de disjoncteur, sa sensibilité et son calibre.

Quel disjoncteur électrique différentiel choisir pour sa maison ?

Le disjoncteur électrique différentiel, appelé aussi disjoncteur de dérivation différentiel, est ajouté au disjoncteur commun dans le système électrique d’une maison. Ces deux derniers sont placés dans le panneau électrique. Les disjoncteurs différentiels sont installés en tête de rangée dans le tableau électrique, vers l’amont du disjoncteur dit divisionnaire dont la fonction est de protéger les biens d’une maison contre les risques reliés au courant électrique. Dans une maison d’une superficie inférieure à 100 m², un seul disjoncteur différentiel doit être installé. Au-dessus de 100 m², 3 disjoncteurs différentiels sont indispensables.

Les disjoncteurs différentiels sont également caractérisés par ce que l’on appelle une « protection magnétothermique », formulée en Ampère (A). Celle-ci est choisie selon le circuit électrique alimenté : 10 ou 16A pour le circuit d’éclairage, 16 ou 20 A pour le circuit de prise électrique.

Incontestablement, une installation électrique, assez vieille, qui n’est plus aux normes, présente à tout moment des risques potentiels pour votre vie et vos biens. Toutefois, est-ce qu’il est vraiment utile de se soumettre à cette norme électrique ?

Mise en sécurité ou mise aux normes ?

Mettre en sécurité électrique, consiste à porter sur les besoins techniques indispensables qu’une installation électrique digne de ce nom doit respecter afin d’être sécurisée. L’ajout où le remplacement d’un interrupteur classique par un différentiel est par exemple, une question de mise en sécurité. L’objectif est en fait de limiter les risques pour les hôtes. La mise en conformité, d’autre part, est de fixer aux normes une installation électrique selon la réglementation en vigueur, il s’agit de la norme de référence NFC 15-100. Elle a pour objectif de garantir impeccablement la sécurité des biens et des occupants.

Mettre aux normes son installation électrique : une obligation ?

La mise aux normes électrique est inévitable pour une construction neuve. En fait, si votre installation électrique ne correspond pas aux dernières normes en vigueur, aucun distributeur d’électricité ne lui connectera pas aux réseaux. Si votre logement est vieil, c’est une occasion également pour exécuter une remise aux normes de sécurité. Sachez, que pour une petite anomalie sur une installation électrique risque d’avoir des conséquences néfastes, voire tragiques. Un contrôle minutieux de l’installation ainsi qu’une mise aux normes vous permet alors de rendre votre résidence plus sûre. Finalement, une remise aux normes rehausse la valeur de votre maison ou de votre logement lors d’une vente immobilière. Les travaux électriques font souvent partie des rénovations qui font peur aux acheteurs. En effet, dans le cas où ils auraient de doute là-dessus, ils n’hésitent pas à négocier pour un prix loin de la réalité.

Comment savoir si votre installation n’est plus aux normes ?

La norme NF C 15 – 100 change, sans cesse au rythme du progrès technique et des besoins accentués des consommateurs. La révision la plus récente est datée de 2015, et au fil de temps l’installation électrique se décline. Le logement peut à cet effet ne plus être de son temps, seulement, doit rester, en sureté et ajusté aux exigences. Conséquemment, pour votre sécurité et celle des autres, il est primordial de faire vérifier périodiquement votre installation électrique par des techniciens qualifiés. Cela, une fois, tous les 10 ans et de faire accomplir les travaux pour la mettre en sécurité. En France, aux alentours de 96 % des cas, les installations électriques qui ne sont plus aux règles de sécurité se repèrent dans les habitations fondées avant 1974. En effet, les décharges électriques, l’incendie sont fréquemment issus de l’installation électrique elle-même, particulièrement le tableau électrique, les prises de courant et les fils électriques.

Étant parmi les solutions les plus appréciées en France, les tarifs réglementés emploient des prix d’électricité étant régulés et également, fixés par l’Etat. Puisque sur le marché de gros de l’Europe, les prix du courant ont augmenté, ces tarifs aussi devraient augmenter. Néanmoins, pour la protection des ménages modestes, l’Etat a décidé de mettre en place un gel des tarifs réglementés. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut savoir sur ce sujet.

Les tarifs réglementés de l’électricité : que désignent-ils ?

Les tarifs réglementés ou tarifs bleus s’agissent des tarifs qui sont offerts de manière exclusive par EDF, ainsi que par certaines sociétés de distribution locales ou ELD. Ce qui particularise ces tarifs, c’est le mode fixation, ainsi que de régulation des prix revenant seulement à l’Etat. Il existe une concurrence entre ces tarifs et les tarifs du marché depuis que le marché du courant s’ouvre en 2007. Quant aux tarifs du marché, ils sont fournis par des fournisseurs alternatifs. À l’opposé de l’EDF et aussi aux ELD, ce sont ces fournisseurs alternatifs qui établissent leurs tarifs librement. Il suffit alors de comparer les prix des fournisseurs d’électricité sur un comparateur en ligne pour sélectionner les offres qui conviennent à vos besoins et en fonction de vos budgets.

La composition des tarifs réglementés

C’est au minimum 2 fois par an que s’effectue l’évolution des prix de l’électricité. D’abord, le prix d’un abonnement par mois assimilé aux TR (tarifs réglementés) est variable, selon la puissance offerte aux consommateurs. Sur la facture du courant, c’est la part fixe. Après, les TR sont aussi composés du prix du kilowattheure d’électricité. Celui-ci varie selon la consommation d’électricité du foyer. Ce prix unitaire recouvre les coûts de production et les frais d’expédition du courant sur les réseaux. Et, à ceux-ci s’ajoutent ainsi les taxes sur l’électricité comme la TVA, la CTA (Contribution Tarifaire d’Acheminement), la CSPE, la TCFE.

Le gel des tarifs réglementés

Suite à l’accroissement des coûts quant à l’approvisionnement de l’électricité, une hausse des tarifs réglementés de vente a été proposé par la CRE. Le gouvernement a prévu de multiples dispositions afin d’assurer ainsi le gel des tarifs réglementés, et de freiner également les impacts de l’envolée du prix d’énergie sur le marché. C’est surtout un plafonnement ayant pour objet la limitation de l’élévation moyenne relative aux factures d’énergie (notamment pour les foyers les plus vulnérables). Tous les citoyens sont concernés par ce bouclier tarifaire quel que soit le fournisseur. En outre, le gel des tarifs réglementés sert à maintenir la compétitivité de l’économie, offre également une protection quant au pouvoir d’achat des ménages.

Quand il s’agit de l’électricité, il faut toujours être prudent surtout celle qui se trouve dans la salle de bain, car l’électricité et l’eau ne font jamais bon ménage. En réalité, des normes bien précises sont à respecter, car il ne faut pas brancher un équipement électrique ou faire installer une prise à n’importe quel endroit dans la salle de bain. Découvrez alors les diverses mesures de sécurité pour une installation électrique dans ce type de pièce.

Respecter la norme NF C 15-100 pour une installation électrique dans la salle de bain

La norme NF C 15-000 concerne les réseaux domestiques. Que ce soit pour une construction neuve ou en cas de rénovation, il faut toujours respecter cette norme pour assurer la sécurité des équipements connectés au circuit et surtout pour protéger les occupants de toute forme d’électrocution. Cette norme fixe, en effet, les règles de toutes installations électriques à respecter dans toutes les pièces d’une maison. Pour la salle de bain, il faut bien déterminer un cadre très précis de coexistence concernant l’installation d’électricité et d’eau, le rendant pratique et ne faisant courir aucun danger aux occupants. La salle de bain est, en fait, une pièce humide. Il faut bien faire attention pour l’installation des prises électriques.

Quel branchement électrique dans la salle de bain ?

Chaque fois que vous voulez installer des composants électriques dans votre salle de bain, il faut toujours prendre en compte la norme NF C 15-100. Selon le volume de l’appareil que vous voulez installer, cette norme vous fixera la protection appropriée : il s’agit de la « protection IP ». Cela fournit des informations sur la résistance de l’appareil aux liquides. Elle est indispensable dans la salle de bain pour prévenir des risques d’électrocution.

Comment déterminer le placement des prises électriques ?

Il faut bien déterminer l’endroit approprié pour installer vos prises électriques dans la salle de bain. Par exemple, il faut être prudent sur la distance de la prise installée à côté du lavabo. Cette prise électrique doit être fixé à au moins 60 cm du lavabo. Elle ne doit pas être installée en-dessus ni en-dessous, mais à côté de votre lavabo. Une fois installée, elle doit être recouverte d’un clapet pour empêcher des projections d’eau. Ainsi, même si vous connaissez la norme électrique à respecter pour la salle de bain, il faut toujours faire appel à un installateur électrique professionnel. Celui-ci saura la mise en place des prises électriques dans votre salle de bain.

Un parafoudre est un appareil de protection branché en série avec une installation électrique dite « sensible ». Dans quelles circonstances et sur quels types d’installations est-il obligatoire de le mettre en place ?

Parafoudre : exigence d’une installation électrique

Un parafoudre est un dispositif d’isolement qui protège les équipements électriques contre les surtensions, les décharges de foudre et les surintensités. Pour répondre aux exigences de sûreté des personnes, des biens et des installations électriques, en cas de surintensité ou de surtension, le parafoudre évite l’intrusion de l’énergie dans les réseaux électriques. De même que les fusibles, les parafoudres agissent de manière asynchrone et selon le principe du circuit de fuite. Lorsque vous devez installer un parafoudre, vous devez tout d’abord connaître la source d’énergie.

Quand utiliser un parafoudre ?

En principe, le parafoudre est obligatoire sur les installations qui sont soumises aux risques de surintensité, de décharges de foudre et de surtension. Voici quelques installations qui présentent ces risques:

Le parafoudre est un équipement électrique dont l’installation répond à des règles de sécurité très strictes. Il est ainsi important de le faire poser par un professionnel pour vous garantir une sécurité totale même si vous pouvez le faire par vous-même. Les travaux d’installation se font généralement en moins d’une heure.

Comment bien choisir un parafoudre pour ses installations électriques ?

Pour choisir un parafoudre, il est également recommandé de consulter les avis des experts. Une auto-alimentation par parafoudre est plus simple à mettre en place et à gérer que l’alimentation par compteur. En effet, le parafoudre génère un signal d’alarme en cas de coupure, il permet donc de réagir avant que les performances de l’enceinte ne soient affectées. Il s’agit d’un dispositif électrique facile à installer et à utiliser qui vous permettra de limiter les risques de défaillance. En revanche, son prix d’achat est un peu plus élevé que celui d’un compteur. Il existe plusieurs types de parafoudres : un parafoudre bipolaire, triphasé, ou monophasé. Selon le type de votre installation électrique, vous aurez besoin d’un ou de deux parafoudres. Il est important de bien choisir le parafoudre qui sera compatible avec l’enceinte acoustique afin qu’il puisse être installé facilement et qu’il fonctionne correctement.

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